Par ordre alphabétique de nom d'auteur
Janvier 1989
Reproductions couleur
112 p.
150 x 200 mm
ISBN 2-908929-60-0
19 €
Reproductions couleur
112 p.
150 x 200 mm
ISBN 2-908929-60-0
19 €
Alain-Michel Boyer
Gauguin, l’autre côté du paysage
Imaginons un paysage de Bretagne méridionale, un bout du monde, le recoin d’une société fossile. Imaginons un peintre qui découvre cette pointe extrême des terres occidentales. On pourrait l’appeler, par exemple, Paul Gauguin.
Gauguin, l’autre côté du paysage
Imaginons un paysage de Bretagne méridionale, un bout du monde, le recoin d’une société fossile. Imaginons un peintre qui découvre cette pointe extrême des terres occidentales. On pourrait l’appeler, par exemple, Paul Gauguin.
Janvier 1999
56 p.
120 x 170 mm
ISBN 2-908929-63-5
7 €
56 p.
120 x 170 mm
ISBN 2-908929-63-5
7 €
Benjamin Lamarche
Humains dites vous !
Benjamin Lamarche explore le xvie siècle, l’époque des guerres de religion et de la Saint-Barthélémy et restitue – par une démarche d’introspection poétique – les protagonistes des événements dans leurs contradictions.
Humains dites vous !
Benjamin Lamarche explore le xvie siècle, l’époque des guerres de religion et de la Saint-Barthélémy et restitue – par une démarche d’introspection poétique – les protagonistes des événements dans leurs contradictions.
Mars 2005
Reproductions N&B
88 p.
115 x 175 mm
ISBN 2-84809-043-X
14 €
Reproductions N&B
88 p.
115 x 175 mm
ISBN 2-84809-043-X
14 €
April Durham, Olive Martin
Common objects
Les photographies d’Olive Martin remettent en scène les planches d’un test psychologique projectif, le Thematic Aperception Test (TAT), conçu aux États-Unis dans les années quarante et utilisé jusqu’à aujourd’hui comme mode d’exploration diagnostique et pronostique de la personnalité. Les textes d’April Durham, forment un recueil de portraits esquissés qui puisent leur profondeur et véracité dans notre propre expérience et ressenti.
Traduit de l’américain par A.-L. Brossard et A. Civico
Common objects
Les photographies d’Olive Martin remettent en scène les planches d’un test psychologique projectif, le Thematic Aperception Test (TAT), conçu aux États-Unis dans les années quarante et utilisé jusqu’à aujourd’hui comme mode d’exploration diagnostique et pronostique de la personnalité. Les textes d’April Durham, forment un recueil de portraits esquissés qui puisent leur profondeur et véracité dans notre propre expérience et ressenti.
Traduit de l’américain par A.-L. Brossard et A. Civico
octobre 2023
isbn 978-2-84809-378-9
48 pages
11 x 20 cm
17 €
isbn 978-2-84809-378-9
48 pages
11 x 20 cm
17 €
En apnée
Fabrice Melquiot - Jeanne Roualet
En apnée est un poème-livre de l’écrivain-performer Fabrice Melquiot, en collaboration avec la graphiste et plasticienne Jeanne Roualet.
L’apnéiste tombe. Ivre d’air et d’eau, il consent à chuter. Il veut l’obscurité, le silence et le froid ; mourant à la surface du monde, il espère l’inversement des forces, conscient que la beauté pulmonaire s’estime en litres et en symboles. Douze ou treize litres, si le corps sait se creuser, s’ouvrir et s’enclore. Et puis l’amour du mystère, la folie sans saison des abysses, la mesure de soi. Il faut lire En apnée comme un passage au noir, une descente dans nos ruptures, nos dégâts, nos erreurs, nos échecs, pour, du monde, affirmer qu’on attend encore quelque chose : que nous devenions – celles et ceux de notre espèce - des athlètes métaphysiques, désireux de redessiner la surface en approchant le fond, « chargés de l’humanité et des animaux même. »
Fabrice Melquiot - Jeanne Roualet
En apnée est un poème-livre de l’écrivain-performer Fabrice Melquiot, en collaboration avec la graphiste et plasticienne Jeanne Roualet.
L’apnéiste tombe. Ivre d’air et d’eau, il consent à chuter. Il veut l’obscurité, le silence et le froid ; mourant à la surface du monde, il espère l’inversement des forces, conscient que la beauté pulmonaire s’estime en litres et en symboles. Douze ou treize litres, si le corps sait se creuser, s’ouvrir et s’enclore. Et puis l’amour du mystère, la folie sans saison des abysses, la mesure de soi. Il faut lire En apnée comme un passage au noir, une descente dans nos ruptures, nos dégâts, nos erreurs, nos échecs, pour, du monde, affirmer qu’on attend encore quelque chose : que nous devenions – celles et ceux de notre espèce - des athlètes métaphysiques, désireux de redessiner la surface en approchant le fond, « chargés de l’humanité et des animaux même. »
Février 2004
64 p.
120 x 170 mm
ISBN 2-84809-019-7
10 €
64 p.
120 x 170 mm
ISBN 2-84809-019-7
10 €
Raphaël Millet
Petites mélancolies
de tous les jours qui passent
> Les courtes notations de Millet ont la chance de toucher du doigt, sans rien dire, de passer en froissant à peine les rideaux de tulle du réel, et de pourtant les secouer en faisant entendre une voix. Une petite voix familière. Cahier Critique de Poésie
Petites mélancolies
de tous les jours qui passent
> Les courtes notations de Millet ont la chance de toucher du doigt, sans rien dire, de passer en froissant à peine les rideaux de tulle du réel, et de pourtant les secouer en faisant entendre une voix. Une petite voix familière. Cahier Critique de Poésie
Février 2006
Prose
64 p.
150 x 200 mm
ISBN 2-84809-060-X
15 €
Prose
64 p.
150 x 200 mm
ISBN 2-84809-060-X
15 €
Jean-Pierre Cannet
De toute lumière
Œuvres de Tony Soulié – Extrait : « Il vous faut quitter les autoroutes et sans doute un peu de vous-même. Il faut d’abord ce refus de l’habitude et des fausses urgences, se visser des yeux d’enfant. »
De toute lumière
Œuvres de Tony Soulié – Extrait : « Il vous faut quitter les autoroutes et sans doute un peu de vous-même. Il faut d’abord ce refus de l’habitude et des fausses urgences, se visser des yeux d’enfant. »
Avril 2001
112 p.
120 x 170 mm
ISBN 2-908929-77-5
10 €
112 p.
120 x 170 mm
ISBN 2-908929-77-5
10 €
Max Jacob
Esthétique
Lettres à René Guy Cadou
> Le charme agissant de cette Esthétique de Max Jacob est qu’elle proclame le caractère vital de la poésie. René Guy Cadou écrit à Max Jacob. C’est le début d’une longue correspondance dans laquelle « le bon Max » ne ménage pas les conseils, enseigne une discipline d’ouverture au « cri habillé » de la poésie, partage son exigence d’un langage dont il faut regagner la confiance. Cahier Critique de Poésie
Esthétique
Lettres à René Guy Cadou
> Le charme agissant de cette Esthétique de Max Jacob est qu’elle proclame le caractère vital de la poésie. René Guy Cadou écrit à Max Jacob. C’est le début d’une longue correspondance dans laquelle « le bon Max » ne ménage pas les conseils, enseigne une discipline d’ouverture au « cri habillé » de la poésie, partage son exigence d’un langage dont il faut regagner la confiance. Cahier Critique de Poésie
Déc. 2004
96 p.
165 x 240 mm
ISBN 2-84809-034-0
20 €
96 p.
165 x 240 mm
ISBN 2-84809-034-0
20 €
Jean-Luc Parant
À Boulevue
Depuis plus de trente ans, l’œuvre plastique et l’œuvre poétique de Jean-Luc Parant, artiste inclassable et atypique, réitèrent une même obsession qui « tourne autour » de l’œil, du regard et, plus loin, de toutes les sphèrités, de toutes les boules. Cette obsession, il ne l’épuise pas, comme si à travers l’œil c’est la planète entière qui défilait, la planète ronde que l’on a sous les pieds ou celle, intérieure ou objectivée, que l’on a sur nos épaules.
À Boulevue
Depuis plus de trente ans, l’œuvre plastique et l’œuvre poétique de Jean-Luc Parant, artiste inclassable et atypique, réitèrent une même obsession qui « tourne autour » de l’œil, du regard et, plus loin, de toutes les sphèrités, de toutes les boules. Cette obsession, il ne l’épuise pas, comme si à travers l’œil c’est la planète entière qui défilait, la planète ronde que l’on a sous les pieds ou celle, intérieure ou objectivée, que l’on a sur nos épaules.
Jean-Claude Pinson
Free Jazz
Extrait : « Coltrane et Ornette vont ensemble boire à la rivière. John s’y ébroue comme un hippopotame, remue les fonds vaseux, y noie ses parasites, lance à pleins poumons un grand cri vers le ciel. Ornette est l’oiseau qui vient se percher sur son dos et se met à chanter ses airs très ironiques »
> Jean-Claude Pinson sait lire Wittgenstein, Leopardi et Marcel Proust comme il aime écouter John Coltrane ou Ornette Coleman. Suite de proses autobiographiques et mouvementées dans lesquelles le « barrage contre le Mélancolique » présente quelques failles, Free Jazz est un livre aussi agréable à l’esprit qu’à l’œil. Une belle leçon d’intelligence sensible et musicale.
Patrick Kéchichian, Le Monde
> Variations sonores et parfois trébuchantes, reprises incessantes au grand tissu où se confondent les mots pour (faire) chanter la vie et la vie pour (faire) chanter les mots, Free Jazz est un livre passionnant, qui s’autorise de longues plages confinant aussi bien à l’essai – ou plutôt ce qu’il en resterait une fois tout oublié de l’histoire du jazz – qu’à la confession. La Quinzaine littéraire
Free Jazz
Extrait : « Coltrane et Ornette vont ensemble boire à la rivière. John s’y ébroue comme un hippopotame, remue les fonds vaseux, y noie ses parasites, lance à pleins poumons un grand cri vers le ciel. Ornette est l’oiseau qui vient se percher sur son dos et se met à chanter ses airs très ironiques »
> Jean-Claude Pinson sait lire Wittgenstein, Leopardi et Marcel Proust comme il aime écouter John Coltrane ou Ornette Coleman. Suite de proses autobiographiques et mouvementées dans lesquelles le « barrage contre le Mélancolique » présente quelques failles, Free Jazz est un livre aussi agréable à l’esprit qu’à l’œil. Une belle leçon d’intelligence sensible et musicale.
Patrick Kéchichian, Le Monde
> Variations sonores et parfois trébuchantes, reprises incessantes au grand tissu où se confondent les mots pour (faire) chanter la vie et la vie pour (faire) chanter les mots, Free Jazz est un livre passionnant, qui s’autorise de longues plages confinant aussi bien à l’essai – ou plutôt ce qu’il en resterait une fois tout oublié de l’histoire du jazz – qu’à la confession. La Quinzaine littéraire
Octobre 2003
120 p. / 150 x 200 mm /
ISBN 2-84809-009-X
25 €
120 p. / 150 x 200 mm /
ISBN 2-84809-009-X
25 €
Existe en édition limitée : exemplaire numéroté avec sérigraphie signée de l’artiste disponible chez l’éditeur
100 €
100 €
Paul Louis Rossi
La Rivière des cassis
Œuvres de Marie-Claude Bugeaud
> Ici les mots paisiblement, les récits glissant l’un dans l’autre, nous maintiennent en état de rêve. « Le mot cassis demeure énigmatique… La vie des mots se révèle encore plus étrange que la couleur des paysages et des équipées. » Qui dira la charge émotive d’une telle phrase ? Oui, il y a des châteaux au bord de la rivière des cassis, « des donjons visités, des parcs importants » Ô saisons, ô châteaux. Combien de livres à l’égal de celui-ci peuvent être dits fidèles « à l’esprit de la méditation et de la poésie, que l’on peut découvrir dans Rimbaud et dans l’art de Pierre Reverdy ». Et les deux dernières séquences, Le Jardin des Castilles, et La Pensée analogique sont comme l’accomplissement du mystère, à travers des poèmes qui sont pour moi de véritables « Chansons spirituelles ». Claude Adelen, La Quinzaine littéraire
La Rivière des cassis
Œuvres de Marie-Claude Bugeaud
> Ici les mots paisiblement, les récits glissant l’un dans l’autre, nous maintiennent en état de rêve. « Le mot cassis demeure énigmatique… La vie des mots se révèle encore plus étrange que la couleur des paysages et des équipées. » Qui dira la charge émotive d’une telle phrase ? Oui, il y a des châteaux au bord de la rivière des cassis, « des donjons visités, des parcs importants » Ô saisons, ô châteaux. Combien de livres à l’égal de celui-ci peuvent être dits fidèles « à l’esprit de la méditation et de la poésie, que l’on peut découvrir dans Rimbaud et dans l’art de Pierre Reverdy ». Et les deux dernières séquences, Le Jardin des Castilles, et La Pensée analogique sont comme l’accomplissement du mystère, à travers des poèmes qui sont pour moi de véritables « Chansons spirituelles ». Claude Adelen, La Quinzaine littéraire