Par ordre alphabétique de nom d'auteur

Philippe Adam et Fabrice Ravel-Chapuis
lu par Jean Guidoni
Il manque une pièce
40 pages
+ CD de 37,27 mn comportant 13 morceaux
42 p. / 130 x 185 mm / 15 €
janvier 2011
Isbn 9782848091563
lu par Jean Guidoni
Il manque une pièce
40 pages
+ CD de 37,27 mn comportant 13 morceaux
42 p. / 130 x 185 mm / 15 €
janvier 2011
Isbn 9782848091563

Jean-Paul Barbe
Villa ker enfance
Roman des filiations et de la reconnaissance. Apprentissage du monde à travers la langue, grignotée ou conquise, toujours aimée et où les sens en éveil cherchent le sens quitte à l’inventer.
Roman / 144 p. / 130 x 200 mm / 13 €
Janvier 2002
ISBN 2-908929-83-X
Villa ker enfance
Roman des filiations et de la reconnaissance. Apprentissage du monde à travers la langue, grignotée ou conquise, toujours aimée et où les sens en éveil cherchent le sens quitte à l’inventer.
Roman / 144 p. / 130 x 200 mm / 13 €
Janvier 2002
ISBN 2-908929-83-X

Jean-Paul Barbe
Admiraal Tromp
> Voici un roman dont le pavillon arbore les couleurs de l’incongruité : dans notre paysage littéraire intimiste, ce vaisseau ne fait pas du cabotage nombriliste. Son auteur préfère les océans aux mers intérieures. On embarque donc pour une longue croisière depuis les antipodes. […] Dans le méandre des références et le cosmopolitisme des langues, le lecteur parfois tombe à l’eau. Peu importe, l’Admiraal Tromp ne vogue pas vite et se complaît en des détours dictés par la beauté des noms. Le Matricule des anges
Roman / 208 p. / 130 x 200 mm / 16 €
Sept. 2003
ISBN 2-84809-007-3
Admiraal Tromp
> Voici un roman dont le pavillon arbore les couleurs de l’incongruité : dans notre paysage littéraire intimiste, ce vaisseau ne fait pas du cabotage nombriliste. Son auteur préfère les océans aux mers intérieures. On embarque donc pour une longue croisière depuis les antipodes. […] Dans le méandre des références et le cosmopolitisme des langues, le lecteur parfois tombe à l’eau. Peu importe, l’Admiraal Tromp ne vogue pas vite et se complaît en des détours dictés par la beauté des noms. Le Matricule des anges
Roman / 208 p. / 130 x 200 mm / 16 €
Sept. 2003
ISBN 2-84809-007-3

Jean-Paul Barbe
Port-Ponant
Roman, ode, témoignage et aveu, Port-Ponant est tout cela à la fois : déposition de formules lexicales amples – servies avec une gourmandise non dissimulée –, inventaire ludique. Ce récit témoigne d’un temps, sept ans «chiffre biblique au demeurant», celui du lycée dans une ville de l’Ouest des années cinquante. Jean-Paul Barbe y déroule le fil de ses souvenirs : une classe, des cours, humanités et autres initiations adolescentes à l’esthétique fragmentée.
Roman / 224 p. / 130 x 200 mm / 21 €
Mars 2005
ISBN 2-84909-045-6
Port-Ponant
Roman, ode, témoignage et aveu, Port-Ponant est tout cela à la fois : déposition de formules lexicales amples – servies avec une gourmandise non dissimulée –, inventaire ludique. Ce récit témoigne d’un temps, sept ans «chiffre biblique au demeurant», celui du lycée dans une ville de l’Ouest des années cinquante. Jean-Paul Barbe y déroule le fil de ses souvenirs : une classe, des cours, humanités et autres initiations adolescentes à l’esthétique fragmentée.
Roman / 224 p. / 130 x 200 mm / 21 €
Mars 2005
ISBN 2-84909-045-6

Clémence de Biéville
36 Sculptures de Jean-Louis Faure
36 textes décrivent 36 sculptures sans jamais que celles-ci ne soient reproduites. On pourrait même douter de leur existence… Clémence de Biéville, avant d’être la romancière que l’on connaît, fût experte en art africain et passa maître dans la description des objets les plus singuliers. C’est d’ailleurs ainsi que l’on pourraît décrire l’art de Jean-Louis Faure. Clémence de Biéville signe avec ce texte un acte littéraire d’une précision chirurgicale.
Prose / 72 p. / 130 x 200 mm / 12
Déc. 1992
ISBN 2-908929-13-9
36 Sculptures de Jean-Louis Faure
36 textes décrivent 36 sculptures sans jamais que celles-ci ne soient reproduites. On pourrait même douter de leur existence… Clémence de Biéville, avant d’être la romancière que l’on connaît, fût experte en art africain et passa maître dans la description des objets les plus singuliers. C’est d’ailleurs ainsi que l’on pourraît décrire l’art de Jean-Louis Faure. Clémence de Biéville signe avec ce texte un acte littéraire d’une précision chirurgicale.
Prose / 72 p. / 130 x 200 mm / 12
Déc. 1992
ISBN 2-908929-13-9

Gaston Bouatchidzé
Les Naissances latentes
Et si, chez Rimbaud, les fameuses Voyelles imposaient leur couleur aux mots qui les contiennent, un peu partout, aux quatre coins de l’œuvre ?
Essai / 96 p. / 120 x 170 mm / 12
Sept. 1991
ISBN 2-908929-01-5
Les Naissances latentes
Et si, chez Rimbaud, les fameuses Voyelles imposaient leur couleur aux mots qui les contiennent, un peu partout, aux quatre coins de l’œuvre ?
Essai / 96 p. / 120 x 170 mm / 12
Sept. 1991
ISBN 2-908929-01-5

Gaston Bouatchidzé
Orange, or des anges
Fantaisie sérieuse, exégèse plaisante, ou petite fugue en forme de panier d’orange. Cet essai aurait sans doute amusé Apollinaire.
Essai / 80 p. / 120 x 170 mm / 10
Oct. 1992
ISBN 2-908929-11-2
Orange, or des anges
Fantaisie sérieuse, exégèse plaisante, ou petite fugue en forme de panier d’orange. Cet essai aurait sans doute amusé Apollinaire.
Essai / 80 p. / 120 x 170 mm / 10
Oct. 1992
ISBN 2-908929-11-2
Patrick Bouvet
Open Space
ils savent
qu’il y a toujours
un espace
opaque
à découvrir
elle peut compter
sur eux
88 p. / 130 x 185 mm / 11 €
sept. 2010
Isbn 9782848091518
Open Space
ils savent
qu’il y a toujours
un espace
opaque
à découvrir
elle peut compter
sur eux
88 p. / 130 x 185 mm / 11 €
sept. 2010
Isbn 9782848091518

Delphine Bretesché
3e Acte
Fin de spectacle, début de soirée pour quatre couples. Quatre façons de conjuguer les rapports amoureux – rencontre, rupture, acte et déboire – sur un ton intime, amer et désopilant. Delphine Bretesché entrelace dessins et textes d’un trait pur qui sied parfaitement au propos.
> Un enchevêtrement narratif touffu, grinçant, acide et drôle aux personnages amers, paumés ou névrosés, sous une forme originale mêlant l’écriture manuscrite au dessin. Le texte, repris en typographie à la fin de l’ouvrage, permet des allées et venues entre page et histoire. Un ton rude et vif pour un ouvrage de belle facture. Charlie Hebdo
> Le livre qui vient de sortir est à la fois très beau, très drôle et forcément grinçant. Inventant une forme d’écriture dessinée, où le dessin et l’écriture se mêlent dans une mise en pages étonnante […] elle trace, par monologues successifs, les histoires de personnages drôles, étranges, obsédés, inquiets ou amusés. Chaque page est comme un tableau de scène de théâtre. Ni BD, ni roman, ni livre d’artiste, 3e Acte esquisse une autre forme, celle d’une écriture hybride scénarisant, page par page, une construction narrative inventive, intelligente et joyeuse. PIL
Dessins N&B
48 p. / 165 x 240 mm / 20 €
Mars 2005
ISBN 2-84809-046-4
3e Acte
Fin de spectacle, début de soirée pour quatre couples. Quatre façons de conjuguer les rapports amoureux – rencontre, rupture, acte et déboire – sur un ton intime, amer et désopilant. Delphine Bretesché entrelace dessins et textes d’un trait pur qui sied parfaitement au propos.
> Un enchevêtrement narratif touffu, grinçant, acide et drôle aux personnages amers, paumés ou névrosés, sous une forme originale mêlant l’écriture manuscrite au dessin. Le texte, repris en typographie à la fin de l’ouvrage, permet des allées et venues entre page et histoire. Un ton rude et vif pour un ouvrage de belle facture. Charlie Hebdo
> Le livre qui vient de sortir est à la fois très beau, très drôle et forcément grinçant. Inventant une forme d’écriture dessinée, où le dessin et l’écriture se mêlent dans une mise en pages étonnante […] elle trace, par monologues successifs, les histoires de personnages drôles, étranges, obsédés, inquiets ou amusés. Chaque page est comme un tableau de scène de théâtre. Ni BD, ni roman, ni livre d’artiste, 3e Acte esquisse une autre forme, celle d’une écriture hybride scénarisant, page par page, une construction narrative inventive, intelligente et joyeuse. PIL
Dessins N&B
48 p. / 165 x 240 mm / 20 €
Mars 2005
ISBN 2-84809-046-4

Sylvain Coher
Hors Saison
À la suite d’un événement tragique, un couple étrange fuit le Sud de la France. Sylvain Coher signe ici son premier roman. Il y fait preuve d’une belle maîtrise en créant un climat à la fois mélancolique, mystérieux et captivant.
Roman / 160 p. / 130 x 200 mm / 14 €
Janvier 2002 - ISBN 2-908929-94-5
Hors Saison
À la suite d’un événement tragique, un couple étrange fuit le Sud de la France. Sylvain Coher signe ici son premier roman. Il y fait preuve d’une belle maîtrise en créant un climat à la fois mélancolique, mystérieux et captivant.
Roman / 160 p. / 130 x 200 mm / 14 €
Janvier 2002 - ISBN 2-908929-94-5

Sylvain Coher
La Recette de Stein
> La phrase coule souple et forte, aussi brute de pensée qu’elle naît dans le cerveau de l’auteur, avec ses rebonds, ses attentes, ses doutes, ses circonvolutions. L’auteur use d’une belle maîtrise à ce jeu. […] La Recette de Stein est un régal. On s’en délecte jusqu’à l’ultime service. Presse Océan
Roman / 160 p. / 130 x 200 mm / 14 €
Déc. 2003
ISBN 2-84809-016-2
La Recette de Stein
> La phrase coule souple et forte, aussi brute de pensée qu’elle naît dans le cerveau de l’auteur, avec ses rebonds, ses attentes, ses doutes, ses circonvolutions. L’auteur use d’une belle maîtrise à ce jeu. […] La Recette de Stein est un régal. On s’en délecte jusqu’à l’ultime service. Presse Océan
Roman / 160 p. / 130 x 200 mm / 14 €
Déc. 2003
ISBN 2-84809-016-2

>
épuisé
Sylvain Coher
Facing
Facing est écrit dans un registre résolument créatif et poétique. Sylvain Coher s’approprie les mots du champ lexical économique, les tord, les ampute dans ce qu’ils ont de plus galvaudé, médiatisé. Sa langue questionne, fascine, vivante et sensible, elle est toujours juste et dépeint avec pudeur un destin balayé. Dans ce roman, le discours dit « civilisé » n’a pas sa place ; la réalité ne l’est pas.
Roman / 112 p. / 130 x 200 mm / 14 €
Janvier 2005
ISBN 2-84809-042-1
Facing
Facing est écrit dans un registre résolument créatif et poétique. Sylvain Coher s’approprie les mots du champ lexical économique, les tord, les ampute dans ce qu’ils ont de plus galvaudé, médiatisé. Sa langue questionne, fascine, vivante et sensible, elle est toujours juste et dépeint avec pudeur un destin balayé. Dans ce roman, le discours dit « civilisé » n’a pas sa place ; la réalité ne l’est pas.
Roman / 112 p. / 130 x 200 mm / 14 €
Janvier 2005
ISBN 2-84809-042-1

Florent Couao-Zotti
Retour de tombe
Florent Couao Zotti fait partie de la nouvelle génération d’écrivains d’une littérature africaine en plein renouvellement.
Nouvelles / 64 p. / 150 x 200 mm / 9 €
Mars 2004 - ISBN 2-84809-025-1
Retour de tombe
Florent Couao Zotti fait partie de la nouvelle génération d’écrivains d’une littérature africaine en plein renouvellement.
Nouvelles / 64 p. / 150 x 200 mm / 9 €
Mars 2004 - ISBN 2-84809-025-1

Alain Defossé
Dimanche au mont Valérien
Extrait : « Je faisais du roman, à coups de jeune homme un peu niais, de canaille émouvante, de blonde assassine. Mais ce que j’avais découvert dans le carton, à Nanterre, en cet après-midi de printemps, n’était pas matière à littérature. »
Roman / 96 p. / 120 x 170 mm / 9 €
Février 2000 - ISBN 2-908929-73-2
Dimanche au mont Valérien
Extrait : « Je faisais du roman, à coups de jeune homme un peu niais, de canaille émouvante, de blonde assassine. Mais ce que j’avais découvert dans le carton, à Nanterre, en cet après-midi de printemps, n’était pas matière à littérature. »
Roman / 96 p. / 120 x 170 mm / 9 €
Février 2000 - ISBN 2-908929-73-2

Chloé Delaume
Eden matin, midi et soir
Thanatopathie [tanatopati] n. f. – du grec thanatos, la mort, et de pathos, ce dont on souffre. C’est ainsi qu’Adèle a nommé le mal qui la ronge, un mal qui la rend inapte à la vie. Durant cinquante minutes, elle explore chaque recoin de sa pathologie, avec l’humour de ceux au-delà du désespoir. Cinquante minutes, c’est le temps moyen qui sépare deux suicides en France.
théâtre / 48 p. / 150 x 200 mm / 10 €
mars 2009 - ISBN 978-2-84809-106-8
Eden matin, midi et soir
Thanatopathie [tanatopati] n. f. – du grec thanatos, la mort, et de pathos, ce dont on souffre. C’est ainsi qu’Adèle a nommé le mal qui la ronge, un mal qui la rend inapte à la vie. Durant cinquante minutes, elle explore chaque recoin de sa pathologie, avec l’humour de ceux au-delà du désespoir. Cinquante minutes, c’est le temps moyen qui sépare deux suicides en France.
théâtre / 48 p. / 150 x 200 mm / 10 €
mars 2009 - ISBN 978-2-84809-106-8

Chloé Delaume
Au commencement était l'adverbe
Illustrations de François Alary
Clotilde Mélisse est écrivaine. Elle pratique l’autofiction, le terrorisme, le baiser de la sorcière et ses recherches en laboratoire. Dans les deux aventures présentées ici, elle est confrontée à sa responsabilité d’auteur. Responsabilité non pas face à ses lecteurs, mais face à ses personnages. Ainsi Charlie revient avec ses exigences, Anaïs lui reproche son statut de démiurge ; migraine et serrements de cœur.
Commandées par France Culture, ces deux pièces ont été réalisées par Alexandre Plank en 2009 et 2010. Dans le diptyque radiophonique, Clotilde Mélisse a la voix d’Anouk Grinberg.
111 p. / / 150 x 200 mm / 12 €
mars 2010
ISBN 9782848091402
Au commencement était l'adverbe
Illustrations de François Alary
Clotilde Mélisse est écrivaine. Elle pratique l’autofiction, le terrorisme, le baiser de la sorcière et ses recherches en laboratoire. Dans les deux aventures présentées ici, elle est confrontée à sa responsabilité d’auteur. Responsabilité non pas face à ses lecteurs, mais face à ses personnages. Ainsi Charlie revient avec ses exigences, Anaïs lui reproche son statut de démiurge ; migraine et serrements de cœur.
Commandées par France Culture, ces deux pièces ont été réalisées par Alexandre Plank en 2009 et 2010. Dans le diptyque radiophonique, Clotilde Mélisse a la voix d’Anouk Grinberg.
111 p. / / 150 x 200 mm / 12 €
mars 2010
ISBN 9782848091402

Michel Desbruères
Les Campagnes de l’Ouest
Roman / 264 p. / 130 x 200 mm / 18 €
Nov. 1993
ISBN 2-908929-18-X
Les Campagnes de l’Ouest
Roman / 264 p. / 130 x 200 mm / 18 €
Nov. 1993
ISBN 2-908929-18-X

Charles Dickens
Les Tuggs à Ramsgate
Charles Dickens impose dans cette histoire primesautière et cocasse sa maîtrise de la mise en scène aet des moyens d’expression.
Roman / 64 p. / 130 x 200 mm / 9 €
Mars 1994
ISBN 2-908929-21-X
Les Tuggs à Ramsgate
Charles Dickens impose dans cette histoire primesautière et cocasse sa maîtrise de la mise en scène aet des moyens d’expression.
Roman / 64 p. / 130 x 200 mm / 9 €
Mars 1994
ISBN 2-908929-21-X

Philippe Dossal
Derrière la montagne
Extrait : « Ce voyage est une vieille promesse qui me lie à Louis. Nous devions partir un jour, tous les deux, crapahuter sur les chemins pour découvrir ensemble quelques facettes du monde dans lequel je l’ai, en quelque sorte, invité. »
Récit / 144 p. / 105 x 165 mm / 8 €
Mars 1999
ISBN 2-908929-64-3
Derrière la montagne
Extrait : « Ce voyage est une vieille promesse qui me lie à Louis. Nous devions partir un jour, tous les deux, crapahuter sur les chemins pour découvrir ensemble quelques facettes du monde dans lequel je l’ai, en quelque sorte, invité. »
Récit / 144 p. / 105 x 165 mm / 8 €
Mars 1999
ISBN 2-908929-64-3

>
épuisé
Philippe Dossal
L'homme blanc
Récit d'un voyage en Afrique, croquis nerveux saisis sur le motif et puis, comme basse continue, un lancinant questionnement sur le sens des voyages, sur cette étrange impulsion qui pousse les hommes à fuir pour se trouver.
Récit / 118 p. / 130 x 200 mm / 14 €
Octobre 2007
ISBN 978-2-84809-080-1
L'homme blanc
Récit d'un voyage en Afrique, croquis nerveux saisis sur le motif et puis, comme basse continue, un lancinant questionnement sur le sens des voyages, sur cette étrange impulsion qui pousse les hommes à fuir pour se trouver.
Récit / 118 p. / 130 x 200 mm / 14 €
Octobre 2007
ISBN 978-2-84809-080-1

>
épuisé
Kossi Efoui
Volatiles
Extrait : « d’une lisière à l’autre des terres et des mers, qui savaient du ciel qu’il était immense et vide, qui avaient vu de tout temps, depuis le vide du ciel, depuis le vide éclaté des continents, depuis la dérive des origines, la forme d’une terre à peu près ronde, la forme d’un monde comme une petite boule composée de petites boules grouillant de petites boules séparées par du vide, seuls les oiseaux rappellent encore, avec le tracé migratoire de leur écriture labile, que les hommes sont habitants de l’espace, que les racines de la terre et de l’homme sont aériennes, de quelque côté que son sommeil ou ses pieds le reposent, qu’il ne reste rien d’aucune origine, qu’il ne reste rien de l’origine éclaté des continents, sinon la trace volatile des transmigrations… »
Nouvelle / 48 p. / 150 x 200 mm / 9 €
Mars 2006
ISBN 2-84809-063-4
Volatiles
Extrait : « d’une lisière à l’autre des terres et des mers, qui savaient du ciel qu’il était immense et vide, qui avaient vu de tout temps, depuis le vide du ciel, depuis le vide éclaté des continents, depuis la dérive des origines, la forme d’une terre à peu près ronde, la forme d’un monde comme une petite boule composée de petites boules grouillant de petites boules séparées par du vide, seuls les oiseaux rappellent encore, avec le tracé migratoire de leur écriture labile, que les hommes sont habitants de l’espace, que les racines de la terre et de l’homme sont aériennes, de quelque côté que son sommeil ou ses pieds le reposent, qu’il ne reste rien d’aucune origine, qu’il ne reste rien de l’origine éclaté des continents, sinon la trace volatile des transmigrations… »
Nouvelle / 48 p. / 150 x 200 mm / 9 €
Mars 2006
ISBN 2-84809-063-4

Thierry Guidet
La Compagnie du fleuve
Extrait : «On m’avait souhaité des jours heureux, des chemins pas trop goudronnés, des aubes un peu fraîches, des bons vins, de la mousse et de l’herbe pour m’allonger au soleil, toutes les couleurs de la Loire et aucun chien méchant. Vœux exaucés.
Si je n’avais marché que pour comprendre pourquoi je marchais ? Allons, on ne prétend ce genre de choses que dans les livres ou les journaux.
J’ai marché en badaud, curieux de la leçon de choses, et d’histoire, et de géographie, et de littérature que me donnerait le fleuve. J’ai marché parce que j’ai lu, adolescent, cette phrase de Giono : “Les hommes, au fond, ça n’a pas été fait pour s’engraisser à l’auge, mais ça a été fait pour maigrir dans les chemins, traverser des arbres et des arbres, sans jamais revoir les mêmes arbres ; s’en aller dans sa curiosité, connaître.” J’ai marché pour me consoler.»
> Intelligence, culture et curiosité sont des qualités dont l’auteur fait sans forfanterie profiter son lecteur, au gré de ses découvertes de badaud, et qui font que jamais il n’ennuie (l’écriture est du reste si maîtrisée, si précisément posée, qu’elle n’a pas besoin d’aventures extraordinaires pour nous retenir). Méditation tranquille et rêveries profondes naissent du rythme de la marche et du miroitement du fleuve […]. Parenthèse au milieu d’une vie d’homme, découverte de l’autre et retour sur soi, rite funèbre aussi, car le souvenir d’un père disparu accompagne le marcheur, ce voyage a, nous prévient Thierry Guidet, «des raisons incertaines mais surabondantes». Et le livre de ce compagnon de route idéal n’est pas indigne du fleuve qui l’a inspiré. 303
Récit / 208 p. / 130 x 200 mm / 17 €
Mars 2004 r/ nouvelle édition mai 2010
ISBN 978-2-84809-149-5
La Compagnie du fleuve
Extrait : «On m’avait souhaité des jours heureux, des chemins pas trop goudronnés, des aubes un peu fraîches, des bons vins, de la mousse et de l’herbe pour m’allonger au soleil, toutes les couleurs de la Loire et aucun chien méchant. Vœux exaucés.
Si je n’avais marché que pour comprendre pourquoi je marchais ? Allons, on ne prétend ce genre de choses que dans les livres ou les journaux.
J’ai marché en badaud, curieux de la leçon de choses, et d’histoire, et de géographie, et de littérature que me donnerait le fleuve. J’ai marché parce que j’ai lu, adolescent, cette phrase de Giono : “Les hommes, au fond, ça n’a pas été fait pour s’engraisser à l’auge, mais ça a été fait pour maigrir dans les chemins, traverser des arbres et des arbres, sans jamais revoir les mêmes arbres ; s’en aller dans sa curiosité, connaître.” J’ai marché pour me consoler.»
> Intelligence, culture et curiosité sont des qualités dont l’auteur fait sans forfanterie profiter son lecteur, au gré de ses découvertes de badaud, et qui font que jamais il n’ennuie (l’écriture est du reste si maîtrisée, si précisément posée, qu’elle n’a pas besoin d’aventures extraordinaires pour nous retenir). Méditation tranquille et rêveries profondes naissent du rythme de la marche et du miroitement du fleuve […]. Parenthèse au milieu d’une vie d’homme, découverte de l’autre et retour sur soi, rite funèbre aussi, car le souvenir d’un père disparu accompagne le marcheur, ce voyage a, nous prévient Thierry Guidet, «des raisons incertaines mais surabondantes». Et le livre de ce compagnon de route idéal n’est pas indigne du fleuve qui l’a inspiré. 303
Récit / 208 p. / 130 x 200 mm / 17 €
Mars 2004 r/ nouvelle édition mai 2010
ISBN 978-2-84809-149-5

Michel Liard
Parole écrite, Parole scénique
Michel Liard donne sa propre vision du théâtre. Il ne dissocie pas la compréhension du texte de sa diction par l’acteur, le travail de l’acteur de la mise en scène. Le lecteur sera sensible à la qualité poétique de l’écriture de Michel Liard. Ses remarques, fruits d’une longue pratique et d’une réflexion approfondie, prennent souvent la forme ciselée d’aphorismes. La poésie est chez lui une élégance du cœur, la précision une politesse de l’esprit.
80 p. / 150 x 200 mm / 15 €
janvier 2007
ISBN 978-2-84809-072-6
Parole écrite, Parole scénique
Michel Liard donne sa propre vision du théâtre. Il ne dissocie pas la compréhension du texte de sa diction par l’acteur, le travail de l’acteur de la mise en scène. Le lecteur sera sensible à la qualité poétique de l’écriture de Michel Liard. Ses remarques, fruits d’une longue pratique et d’une réflexion approfondie, prennent souvent la forme ciselée d’aphorismes. La poésie est chez lui une élégance du cœur, la précision une politesse de l’esprit.
80 p. / 150 x 200 mm / 15 €
janvier 2007
ISBN 978-2-84809-072-6

Michel Liard
La Dernière Aventure du Che
1967 : la troupe errante des guérilleros avec le Che dans les forêts de Bolivie. Trois points de vue, trois types d’écriture viennent restituer la fin du parcours héroïque d’Ernesto Guevara dans le réseau complexe et contradictoire des relations humaines et des enjeux politiques de l’époque.
Roman / 304 p. / 130 x 200 mm / 19 €
Sept. 2003
ISBN 2-84809-008-1
La Dernière Aventure du Che
1967 : la troupe errante des guérilleros avec le Che dans les forêts de Bolivie. Trois points de vue, trois types d’écriture viennent restituer la fin du parcours héroïque d’Ernesto Guevara dans le réseau complexe et contradictoire des relations humaines et des enjeux politiques de l’époque.
Roman / 304 p. / 130 x 200 mm / 19 €
Sept. 2003
ISBN 2-84809-008-1

Michel Luneau
Avis de Passage
Extrait : « Nous sommes le samedi 28 juin. Ma femme et moi partons aujourd’hui pour la Grèce. Circuit de dix-huit jours. Décollage à 15 heures. Il est midi. Je prends mon courrier. Un avis de passage m’indique que le facteur est passé chez moi ce matin même à 11 h 15 pour me remettre en mains propres une lettre recommandée avec accusé de réception, et qu’il a trouvé porte close. Le bureau de la poste étant fermé le samedi après-midi, je suis invité à ne retirer ma lettre qu’à partir de 14 heures, lundi 30 juin.
Je serai loin. »
La vivacité savoureuse de la narration, sa vigueur et sa drôlerie rappellent toute la maîtrise de Michel Luneau – artiste du mot – à jongler entre récit, autofiction, prose et aphorisme, et à transformer un fait anodin en comédie. Le narrateur vivra cette situation jusqu’au burlesque avant de revenir à l’essentiel.
> Si le Houellebecq est d’un pessimisme enchanté, le Luneau est d’un optimisme désenchanté. Tout est prétexte à des digressions opportunes sur le sens de la vie : l’heure de fermeture des PTT, l’administration fiscale et la beauté de l’inspectrice, la qualité des vols charters […] ou l’avantage de l’hôpital grec par rapport à son équivalent français. Rien ne nous est épargné. Et nous ne pouvons que rire avec ce grand bougon amoureux comme à son premier soir, quand, devant le handicap de sa femme, il joue tous les rôles d’un opéra-comique, déjà commencé à la première page. Merci Monsieur Luneau ! Page des libraires
Récit / 160 p. / 130 x 200 mm / 16 €
Oct. 2005
ISBN 2-84809-056-1
Avis de Passage
Extrait : « Nous sommes le samedi 28 juin. Ma femme et moi partons aujourd’hui pour la Grèce. Circuit de dix-huit jours. Décollage à 15 heures. Il est midi. Je prends mon courrier. Un avis de passage m’indique que le facteur est passé chez moi ce matin même à 11 h 15 pour me remettre en mains propres une lettre recommandée avec accusé de réception, et qu’il a trouvé porte close. Le bureau de la poste étant fermé le samedi après-midi, je suis invité à ne retirer ma lettre qu’à partir de 14 heures, lundi 30 juin.
Je serai loin. »
La vivacité savoureuse de la narration, sa vigueur et sa drôlerie rappellent toute la maîtrise de Michel Luneau – artiste du mot – à jongler entre récit, autofiction, prose et aphorisme, et à transformer un fait anodin en comédie. Le narrateur vivra cette situation jusqu’au burlesque avant de revenir à l’essentiel.
> Si le Houellebecq est d’un pessimisme enchanté, le Luneau est d’un optimisme désenchanté. Tout est prétexte à des digressions opportunes sur le sens de la vie : l’heure de fermeture des PTT, l’administration fiscale et la beauté de l’inspectrice, la qualité des vols charters […] ou l’avantage de l’hôpital grec par rapport à son équivalent français. Rien ne nous est épargné. Et nous ne pouvons que rire avec ce grand bougon amoureux comme à son premier soir, quand, devant le handicap de sa femme, il joue tous les rôles d’un opéra-comique, déjà commencé à la première page. Merci Monsieur Luneau ! Page des libraires
Récit / 160 p. / 130 x 200 mm / 16 €
Oct. 2005
ISBN 2-84809-056-1

Michel Luneau
Euphorismes
Michel Luneau vit dans la région nantaise. Écrivain, éditeur et galeriste, il est l’auteur d’une quinzaine d’ouvrages. Poète, romancier, il s’est adonné sur le tard, avec Minimales et Maximiennes (éd. Climats, 2002) à limer des petits bouts de phrases. Fallait-il les baptiser adages, aphorismes, apophtegmes, formules, maximes, pensées, préceptes, sentences ? Tous comptes faits il a préféré néologiser et cela donne : Euphorismes.
48 p. / 120 x 170 mm / 10 €
Oct. 2004
ISBN 2-84809-023-5
Euphorismes
Michel Luneau vit dans la région nantaise. Écrivain, éditeur et galeriste, il est l’auteur d’une quinzaine d’ouvrages. Poète, romancier, il s’est adonné sur le tard, avec Minimales et Maximiennes (éd. Climats, 2002) à limer des petits bouts de phrases. Fallait-il les baptiser adages, aphorismes, apophtegmes, formules, maximes, pensées, préceptes, sentences ? Tous comptes faits il a préféré néologiser et cela donne : Euphorismes.
48 p. / 120 x 170 mm / 10 €
Oct. 2004
ISBN 2-84809-023-5

Michel Luneau
Transmission de pensées
Après Minimales et Maximiennes puis Euphorismes, Transmission de pensées est le dernier recueil d’aphorismes de Michel Luneau.
48 p. / 120 x 170 mm / 10 €
Oct. 2006
ISBN 2-84809-070-7
Transmission de pensées
Après Minimales et Maximiennes puis Euphorismes, Transmission de pensées est le dernier recueil d’aphorismes de Michel Luneau.
48 p. / 120 x 170 mm / 10 €
Oct. 2006
ISBN 2-84809-070-7

Michel Luneau
La Séparation de corps
Corps et âme, deux amis d’enfance, presque deux frères qui se seraient perdus de vue et dont les chemins ont beaucoup divergé ? Pas tout à fait. Disons d’emblée, sans vouloir vexer quiconque, que s’ils sont au service de la même personne, ils ne font pas partie du même monde. C’est un curieux duo qui se forme à la naissance. D’un côté un corps on ne peut plus matériel, qui met le nez dehors, flanqué parfois, pour quelques semaines, d’une drôle de tête en pain de sucre sur fond de jaunisse. Début de la vie dans l’indisposition, les cris, la colère, la rage, poings serrés, en dépit de tout l’amour admiratif et du regard émerveillé de la mère contemplant son œuvre. De l’autre côté l’âme. Plus immatérielle qu’elle, si j’ose dire, tu meurs. Personne ne l’a vue, ne la voit, ne la verra jamais. On ne la sent pas plus que l’atmosphère quand il n’y a pas une haleine de vent. À se demander si elle existe vraiment, alors que certains la présentent comme chevillée au corps. (Nous y reviendrons.)
68 p. / 150 x 200 mm / 13 €
Février 2009
ISBN 978-2-84809-103-7
La Séparation de corps
Corps et âme, deux amis d’enfance, presque deux frères qui se seraient perdus de vue et dont les chemins ont beaucoup divergé ? Pas tout à fait. Disons d’emblée, sans vouloir vexer quiconque, que s’ils sont au service de la même personne, ils ne font pas partie du même monde. C’est un curieux duo qui se forme à la naissance. D’un côté un corps on ne peut plus matériel, qui met le nez dehors, flanqué parfois, pour quelques semaines, d’une drôle de tête en pain de sucre sur fond de jaunisse. Début de la vie dans l’indisposition, les cris, la colère, la rage, poings serrés, en dépit de tout l’amour admiratif et du regard émerveillé de la mère contemplant son œuvre. De l’autre côté l’âme. Plus immatérielle qu’elle, si j’ose dire, tu meurs. Personne ne l’a vue, ne la voit, ne la verra jamais. On ne la sent pas plus que l’atmosphère quand il n’y a pas une haleine de vent. À se demander si elle existe vraiment, alors que certains la présentent comme chevillée au corps. (Nous y reviendrons.)
68 p. / 150 x 200 mm / 13 €
Février 2009
ISBN 978-2-84809-103-7

Dominique Noguez
Écrit en 68
Extrait : « Ceux de ma génération portent en eux ces semaines à jamais ensoleillées comme une douce cicatrice et un repère difficilement effaçable. Et s’ils sont, comme moi, aujourd’hui moins emballés, plus friands d’ironie, il est bon, si l’on veut un peu les connaître, qu’on les voie dans ces moments de gravité légère qu’ils crurent longtemps les plus beaux de leur vie. »
Récit / 96 p. / 120 x 170 mm / 7 €
Sept. 1999
ISBN 2-908929-67-8
Écrit en 68
Extrait : « Ceux de ma génération portent en eux ces semaines à jamais ensoleillées comme une douce cicatrice et un repère difficilement effaçable. Et s’ils sont, comme moi, aujourd’hui moins emballés, plus friands d’ironie, il est bon, si l’on veut un peu les connaître, qu’on les voie dans ces moments de gravité légère qu’ils crurent longtemps les plus beaux de leur vie. »
Récit / 96 p. / 120 x 170 mm / 7 €
Sept. 1999
ISBN 2-908929-67-8
Emilie Notéris
Séquoiadrome
collection extraction
Séquoiadrome oscille entre une trame narrative à caractère fantastique et la réalité des problèmes théoriques et historiques qu’il soulève. Il est donc question, avec humour, de philosophie, de politique, et d’écologie. Crash d’un avion de tourisme au sommet de la plus grande entité vivante : un séquoia baptisé Karl Marx par une communauté socialiste utopique. Les secours tardent à se manifester. Robinson, l’aviateur, et Miss Hélium, sa copilote, mettent en place un habitat de survie. Un dialogue s’amorce entre Robinson et son hôte. Et si le séquoia semble hanté par le spectre de Karl Marx, Robinson s’interroge sur la validité, l’actualité de son message aujourd’hui. Dans un texte inventif, qui mêle théorie et narration, Émilie Notéris installe un discours critique, dans la lignée des textes d’anticipation utopiques.
160 p. / 13 x 18,5cm / 16 €
janvier 2011
Isbn 978-2-84809-155-6
Séquoiadrome
collection extraction
Séquoiadrome oscille entre une trame narrative à caractère fantastique et la réalité des problèmes théoriques et historiques qu’il soulève. Il est donc question, avec humour, de philosophie, de politique, et d’écologie. Crash d’un avion de tourisme au sommet de la plus grande entité vivante : un séquoia baptisé Karl Marx par une communauté socialiste utopique. Les secours tardent à se manifester. Robinson, l’aviateur, et Miss Hélium, sa copilote, mettent en place un habitat de survie. Un dialogue s’amorce entre Robinson et son hôte. Et si le séquoia semble hanté par le spectre de Karl Marx, Robinson s’interroge sur la validité, l’actualité de son message aujourd’hui. Dans un texte inventif, qui mêle théorie et narration, Émilie Notéris installe un discours critique, dans la lignée des textes d’anticipation utopiques.
160 p. / 13 x 18,5cm / 16 €
janvier 2011
Isbn 978-2-84809-155-6

Jim Palette
Les Montagnes de Worcester
En filigrane de ce roman pétri d’une fantaisie toute personnelle, Jim Palette aborde la question fondamentale de toute pratique artistique: pourquoi créer, à quoi bon continuer à créer ?
Roman / 64 p. / 130 x 200 mm / 11 €
Mars 1992
ISBN 2-908929-03-1
Les Montagnes de Worcester
En filigrane de ce roman pétri d’une fantaisie toute personnelle, Jim Palette aborde la question fondamentale de toute pratique artistique: pourquoi créer, à quoi bon continuer à créer ?
Roman / 64 p. / 130 x 200 mm / 11 €
Mars 1992
ISBN 2-908929-03-1

Olivier de Pierrebourg
Sur le motif
Extrait : « Kérel est l’une des cinq îles de la côte française (davantage si l’on y ajoute Aix plus quelques îlots) qui s’étagent entre les estuaires de la Loire et de la Gironde. Elle n’est ni la plus grande, ni la plus petite, ni la plus proche, ni la plus éloignée, mais elle est précieuse aux yeux de ceux qui en ont foulé le sable et l’asphalte, respiré les odeurs, absorbé les lumières quand ils étaient enfants. Au début des années quatre-vingt, la décision longtemps objet de disputes fut prise de la relier au continent par un pont. Oléron avait eu son pont, puis Noirmoutier. Il semblait que les raisons économiques qui pouvaient prévaloir pour les autres îles manquaient dans le cas de Kérel, mais c’était peine perdue d’espérer et de se battre, il y avait une idée simple à l’œuvre, en réalité une très vieille idée parée des prestiges ambigus du progrès, qui n’était pas en faveur des îles. »
Sur le motif dessine par touches successives un homme et un horizon. Indissociables. Pour le narrateur revoir l’île c’est exhumer l’enfant maladif, malheureux, haineux de son corps, affronter les blessures enfouies qui ont modelé un être d’une extrême fragilité, et découvrir, enfin, la beauté du décor sous les images obsédantes de son enfance. Dans une langue précise, l’auteur ne force ni le trait de la beauté ni l’affectivité. Son sens de la description autant littéraire que picturale s’illustre aussi dans la galerie de portraits qu’il nous offre.
Roman / 192 p. / 130 x 200 mm / 16 €
Mars 2004
ISBN 2-84809-065-0
Sur le motif
Extrait : « Kérel est l’une des cinq îles de la côte française (davantage si l’on y ajoute Aix plus quelques îlots) qui s’étagent entre les estuaires de la Loire et de la Gironde. Elle n’est ni la plus grande, ni la plus petite, ni la plus proche, ni la plus éloignée, mais elle est précieuse aux yeux de ceux qui en ont foulé le sable et l’asphalte, respiré les odeurs, absorbé les lumières quand ils étaient enfants. Au début des années quatre-vingt, la décision longtemps objet de disputes fut prise de la relier au continent par un pont. Oléron avait eu son pont, puis Noirmoutier. Il semblait que les raisons économiques qui pouvaient prévaloir pour les autres îles manquaient dans le cas de Kérel, mais c’était peine perdue d’espérer et de se battre, il y avait une idée simple à l’œuvre, en réalité une très vieille idée parée des prestiges ambigus du progrès, qui n’était pas en faveur des îles. »
Sur le motif dessine par touches successives un homme et un horizon. Indissociables. Pour le narrateur revoir l’île c’est exhumer l’enfant maladif, malheureux, haineux de son corps, affronter les blessures enfouies qui ont modelé un être d’une extrême fragilité, et découvrir, enfin, la beauté du décor sous les images obsédantes de son enfance. Dans une langue précise, l’auteur ne force ni le trait de la beauté ni l’affectivité. Son sens de la description autant littéraire que picturale s’illustre aussi dans la galerie de portraits qu’il nous offre.
Roman / 192 p. / 130 x 200 mm / 16 €
Mars 2004
ISBN 2-84809-065-0

Jacques-François Piquet
Noms de Nantes
Postface de François Bon.
> Composé de fragments à la respiration mesurée, le « récit » de Jacques François Piquet obéit à un mouvement de fugue […]. Intime, le parcours fait écho aux souvenirs. Dans le fragment et dans l’épure, le livre trouve sa respiration, suit un chemin privé à partager avec ses rues du départ et ses lignes de fuite. Ouest France
Récit / 96 p. / 120 x 170 mm / 10 €
Janv. 2002, Février 2004
ISBN 2-908929-85-6
Noms de Nantes
Postface de François Bon.
> Composé de fragments à la respiration mesurée, le « récit » de Jacques François Piquet obéit à un mouvement de fugue […]. Intime, le parcours fait écho aux souvenirs. Dans le fragment et dans l’épure, le livre trouve sa respiration, suit un chemin privé à partager avec ses rues du départ et ses lignes de fuite. Ouest France
Récit / 96 p. / 120 x 170 mm / 10 €
Janv. 2002, Février 2004
ISBN 2-908929-85-6

Jacques-François Piquet
L’Œil-de-bœuf
Extrait : « L’œil-de-bœuf révélait une partie du paysage, mais cachait le reste, tout le reste. Or, c’est précisément l’absence, l’invisible qui forcent l’imagination. Ainsi, malgré les zones d’ombres et les angles morts, c’est dans un va et vient constant entre réel et imaginaire, entre passé et présent, que l’on s’efforce de recomposer le tableau et d’y déchiffrer l’histoire qui nous concerne. »
Roman / 208 p. / 130 x 200 mm / 16 €
Mars 2004
ISBN 2-84809-018-9
L’Œil-de-bœuf
Extrait : « L’œil-de-bœuf révélait une partie du paysage, mais cachait le reste, tout le reste. Or, c’est précisément l’absence, l’invisible qui forcent l’imagination. Ainsi, malgré les zones d’ombres et les angles morts, c’est dans un va et vient constant entre réel et imaginaire, entre passé et présent, que l’on s’efforce de recomposer le tableau et d’y déchiffrer l’histoire qui nous concerne. »
Roman / 208 p. / 130 x 200 mm / 16 €
Mars 2004
ISBN 2-84809-018-9

Danielle Robert-Guédon
Les Vivants, les Morts et les Marins
Ce récit de Danielle Robert-Guédon est à l’image de toute son œuvre : autobiographique. Une invitation à suivre l’auteur dans ce qu’elle donne à voir et à ressentir, dans les rues de Lisbonne, Nantes, Prague, Paris et Rio d’où elle témoigne, avec une grande sensibilité, des vivants, des morts et des marins (selon l’expression de Platon) qui éclairent sa vie. Un témoignage tout en retenue où l’auteur écrit à partir du réel pour saisir la substance du défilé et des épreuves des jours. La littérature prend corps en elle. Ses souvenirs se bousculent, moments de bonheur, d’amour, mais aussi de souffrance intense et « un détestable scrupule à vivre encore » quand survient la disparition des êtres chers. Récit dense et subtil servi par une écriture sensible ; chaque mot, chaque émotion a sa place dans ce chant d’amour.
> C’est une errance entre trois ports, Lisbonne, Nantes et Rio et deux capitales, Paris et Prague où sont jetées les cendres de l’homme aimé, Magdi Senadji le photographe, prince des bars et de la lumière : « Magdi est mort depuis plusieurs mois. Sur son passeport, date d’expiration : 24 mars 2003. Il a obtempéré. Rien ne s’invente. » On pense parfois à un Jean-Claude Pirotte au féminin puisqu’on trouve des phrases sous la plume de l’une qu’on penserait pouvoir lire sous celle de l’autre : « Il y a des promenades qui ne mènent à rien, seulement aux bars. » C’est qu’on est dans la même proximité des livres, des morts et de ceux qu’on aime qui sont parfois les mêmes…Thierry Guichard Le Matricule des anges
Récit / 128 p. / 130 x 200 mm / 13 €
Janvier 2005
ISBN 2-84809-041-3
Les Vivants, les Morts et les Marins
Ce récit de Danielle Robert-Guédon est à l’image de toute son œuvre : autobiographique. Une invitation à suivre l’auteur dans ce qu’elle donne à voir et à ressentir, dans les rues de Lisbonne, Nantes, Prague, Paris et Rio d’où elle témoigne, avec une grande sensibilité, des vivants, des morts et des marins (selon l’expression de Platon) qui éclairent sa vie. Un témoignage tout en retenue où l’auteur écrit à partir du réel pour saisir la substance du défilé et des épreuves des jours. La littérature prend corps en elle. Ses souvenirs se bousculent, moments de bonheur, d’amour, mais aussi de souffrance intense et « un détestable scrupule à vivre encore » quand survient la disparition des êtres chers. Récit dense et subtil servi par une écriture sensible ; chaque mot, chaque émotion a sa place dans ce chant d’amour.
> C’est une errance entre trois ports, Lisbonne, Nantes et Rio et deux capitales, Paris et Prague où sont jetées les cendres de l’homme aimé, Magdi Senadji le photographe, prince des bars et de la lumière : « Magdi est mort depuis plusieurs mois. Sur son passeport, date d’expiration : 24 mars 2003. Il a obtempéré. Rien ne s’invente. » On pense parfois à un Jean-Claude Pirotte au féminin puisqu’on trouve des phrases sous la plume de l’une qu’on penserait pouvoir lire sous celle de l’autre : « Il y a des promenades qui ne mènent à rien, seulement aux bars. » C’est qu’on est dans la même proximité des livres, des morts et de ceux qu’on aime qui sont parfois les mêmes…Thierry Guichard Le Matricule des anges
Récit / 128 p. / 130 x 200 mm / 13 €
Janvier 2005
ISBN 2-84809-041-3

Jean-Louis Faure, Pierre Pachet
Bêtise de l’intelligence
> Pierre Pachet se livre avec son acuité et son ironie habituelles à un original exercice de critique littéraire à partir d’une scène (imaginaire ?), sculptée en bois peint, laiton et résine par Jean-Louis Faure et intitulée « Jean-Paul Sarte et Simone de Beauvoir refusant de serrer la main d’Arthur Koestler». Dans cet exercice d’humour noir décapant, l’artiste comme l’essayiste ne cachent pas où va leur préférence. Nicole Zand Le Monde
Jean-Louis Faure et né en 1931 à Paris. Il commence la sculpture en 1979. Pierre Pachet est l’auteur de nombreux livres, parmi lesquels : Nuits étroitement surveillées, La Force de dormir, Le Grand Âge, Autobiographie de mon père, L’Œuvre des jours, Adieu, Aux aguets, L’Amour dans le temps et Loin de Paris
Reproductions couleur - 64 p. / 150 x 200 mm / 15 €
Deuxième édition : mai 2006
ISBN 2-84809-067-7
Bêtise de l’intelligence
> Pierre Pachet se livre avec son acuité et son ironie habituelles à un original exercice de critique littéraire à partir d’une scène (imaginaire ?), sculptée en bois peint, laiton et résine par Jean-Louis Faure et intitulée « Jean-Paul Sarte et Simone de Beauvoir refusant de serrer la main d’Arthur Koestler». Dans cet exercice d’humour noir décapant, l’artiste comme l’essayiste ne cachent pas où va leur préférence. Nicole Zand Le Monde
Jean-Louis Faure et né en 1931 à Paris. Il commence la sculpture en 1979. Pierre Pachet est l’auteur de nombreux livres, parmi lesquels : Nuits étroitement surveillées, La Force de dormir, Le Grand Âge, Autobiographie de mon père, L’Œuvre des jours, Adieu, Aux aguets, L’Amour dans le temps et Loin de Paris
Reproductions couleur - 64 p. / 150 x 200 mm / 15 €
Deuxième édition : mai 2006
ISBN 2-84809-067-7

Élisabeth Prévost et Blaise Cendrars
Madame mon copain
Textes établis par Monique Chefdor,
Autour de 31 lettres inédites de Cendrars, des documents, textes et photos nous racontent l’histoire d’une amitié exceptionnelle.
> Un superbe travail qui permet de découvrir « Madame mon copain » et d’en connaître un peu plus sur l’auteur de Moravagine Ouest France
Recueil / 160 p. / 170 x 240 mm / 20 €
Août 1997
ISBN 2-908929-45-7
Madame mon copain
Textes établis par Monique Chefdor,
Autour de 31 lettres inédites de Cendrars, des documents, textes et photos nous racontent l’histoire d’une amitié exceptionnelle.
> Un superbe travail qui permet de découvrir « Madame mon copain » et d’en connaître un peu plus sur l’auteur de Moravagine Ouest France
Recueil / 160 p. / 170 x 240 mm / 20 €
Août 1997
ISBN 2-908929-45-7

Élisabeth Prévost
Les Carottes au Plaza
Nouvelles / 64 p. / 130 x 200 mm / 9 €
Janvier 1997
ISBN 2-908929-43-0
Les Carottes au Plaza
Nouvelles / 64 p. / 130 x 200 mm / 9 €
Janvier 1997
ISBN 2-908929-43-0

Paul Louis Rossi
Le Buisson de datura
Extrait : « Il faisait très chaud dans la nuit. Au commencement, je vis des formes obscures qui avaient de la peine à se détacher du chaos, et qui semblaient souffrir. Puis une suite de fantômes qui vinrent me solliciter. Je ne dormais pas vraiment, et si j’ouvrais les yeux, les formes demeuraient auprès de moi. Ensuite les visages se dessinèrent. Je les reconnaissais. Ils venaient de plus en plus près, jusqu’à me toucher, jusqu’à m’embrasser presque sur les lèvres. J’en étais bouleversé et dans le même temps, j’en éprouvais une sorte d’horreur. Je me mis à parler à voix haute dans la nuit, répétant la formule : Intellige priusquam discutias… Comprends avant de juger. »
Les proses oniriques de Paul Louis Rossi nourrissent la substance de ces récits. Cette déambulation aux éclats poétiques et aux affinités littéraires (Borges, Joyce, Sôseki) et artistiques (Hans Baldung Grien, Stoskopff, Palladio, Dürer…) nous mène dans l’évocation de rencontres, de paysages et d’échappées fantastiques. « Rien de ce qui est étrange ne nous est étranger… »
Récits / 160 p. / 130 x 200 mm / 16 €
Mars 2006
ISBN 2-84809-059-6
Le Buisson de datura
Extrait : « Il faisait très chaud dans la nuit. Au commencement, je vis des formes obscures qui avaient de la peine à se détacher du chaos, et qui semblaient souffrir. Puis une suite de fantômes qui vinrent me solliciter. Je ne dormais pas vraiment, et si j’ouvrais les yeux, les formes demeuraient auprès de moi. Ensuite les visages se dessinèrent. Je les reconnaissais. Ils venaient de plus en plus près, jusqu’à me toucher, jusqu’à m’embrasser presque sur les lèvres. J’en étais bouleversé et dans le même temps, j’en éprouvais une sorte d’horreur. Je me mis à parler à voix haute dans la nuit, répétant la formule : Intellige priusquam discutias… Comprends avant de juger. »
Les proses oniriques de Paul Louis Rossi nourrissent la substance de ces récits. Cette déambulation aux éclats poétiques et aux affinités littéraires (Borges, Joyce, Sôseki) et artistiques (Hans Baldung Grien, Stoskopff, Palladio, Dürer…) nous mène dans l’évocation de rencontres, de paysages et d’échappées fantastiques. « Rien de ce qui est étrange ne nous est étranger… »
Récits / 160 p. / 130 x 200 mm / 16 €
Mars 2006
ISBN 2-84809-059-6

Isabelle Rossignol
Le Champ des tours
Une question hante Simone : pourquoi ses habitants veulent-ils fuir leur quartier ?
Théâtre / 80 p. / 130 x 200 mm / 12 €
Mars 2003
ISBN 2-84809-000-6
Le Champ des tours
Une question hante Simone : pourquoi ses habitants veulent-ils fuir leur quartier ?
Théâtre / 80 p. / 130 x 200 mm / 12 €
Mars 2003
ISBN 2-84809-000-6

Jean Rouaud
Régional et drôle
On retrouve dans ce texte l’immense talent de Jean Rouaud : l’écriture ample et précise, une poétique discrète, sans effets superflus, sans fausse nostalgie. Et la force d’une émotion vraie lorsqu’on retrouve des bribes d’un temps qu’on croyait perdu.
Nouvelles / 96 p. / 120 x 170 mm / 10 €
Nov. 2001, Janv. 2002
ISBN 2-908929-82-1
Régional et drôle
On retrouve dans ce texte l’immense talent de Jean Rouaud : l’écriture ample et précise, une poétique discrète, sans effets superflus, sans fausse nostalgie. Et la force d’une émotion vraie lorsqu’on retrouve des bribes d’un temps qu’on croyait perdu.
Nouvelles / 96 p. / 120 x 170 mm / 10 €
Nov. 2001, Janv. 2002
ISBN 2-908929-82-1

Jean Rouaud
Cadou Loire Intérieure
Lorsque Jean Rouaud se plonge dans la poésie de René Guy Cadou c’est pour mieux tisser entre eux des liens fraternels. Le prosateur d’aujourd’hui entremêle son écriture avec les vers du poète trop tôt disparu. Il le suit, pas à pas, sur les chemins de cette Loire Intérieure dont on sait à quel point elle l’habite. Ainsi se construit une envoûtante introduction à l’œuvre de Cadou qui parvient à l’essentiel : susciter le désir de le lire ou de le relire.
Essai / 48 p. / 120 x 170 mm / 6 €
Mai 2001
ISBN 2-908929-65-1
Cadou Loire Intérieure
Lorsque Jean Rouaud se plonge dans la poésie de René Guy Cadou c’est pour mieux tisser entre eux des liens fraternels. Le prosateur d’aujourd’hui entremêle son écriture avec les vers du poète trop tôt disparu. Il le suit, pas à pas, sur les chemins de cette Loire Intérieure dont on sait à quel point elle l’habite. Ainsi se construit une envoûtante introduction à l’œuvre de Cadou qui parvient à l’essentiel : susciter le désir de le lire ou de le relire.
Essai / 48 p. / 120 x 170 mm / 6 €
Mai 2001
ISBN 2-908929-65-1

Jules Verne
Le Comte de Chanteleine
Jules Verne racontant le passé : c’est à ce choix paradoxal de la part d’un écrivain visionnaire qu’appartient Le Comte de Chanteleine, roman historique publié dans la revue Le Musée des familles en 1864, la même année que son illustre Voyage au centre de la terre. Tenté comme nombre de ses contemporains de livrer son épisode de la Révolution, l’écrivain né à Nantes reprend l’histoire au 24 février 1793. À l’époque où il écrit ce récit, Jules Verne est encore, et avant tout, dramaturge : Le Comte de Chanteleine mené tambour battant ne fait l’économie d’aucun coup de théâtre. L’intérêt n’a guère l’occasion de faillir : le savoir-faire consommé de l’écrivain assure son lecteur d’un plaisir entier à suivre ces péripéties.
Roman / 112 p. / 165 x 240 mm / 19 €
Mars 2005
ISBN 2-84809-047-2
Le Comte de Chanteleine
Jules Verne racontant le passé : c’est à ce choix paradoxal de la part d’un écrivain visionnaire qu’appartient Le Comte de Chanteleine, roman historique publié dans la revue Le Musée des familles en 1864, la même année que son illustre Voyage au centre de la terre. Tenté comme nombre de ses contemporains de livrer son épisode de la Révolution, l’écrivain né à Nantes reprend l’histoire au 24 février 1793. À l’époque où il écrit ce récit, Jules Verne est encore, et avant tout, dramaturge : Le Comte de Chanteleine mené tambour battant ne fait l’économie d’aucun coup de théâtre. L’intérêt n’a guère l’occasion de faillir : le savoir-faire consommé de l’écrivain assure son lecteur d’un plaisir entier à suivre ces péripéties.
Roman / 112 p. / 165 x 240 mm / 19 €
Mars 2005
ISBN 2-84809-047-2

Émile Zola
Les Coquillages de M. Chabre
Cette pochade exemplaire, toute de coquine fantaisie, étonnera tous ceux qui n’avaient vu en Zola que le chef sévère du naturalisme.
Roman / 64 p. / 130 x 200 mm / 10 €
Set. 2004
ISBN 2-84809-040-5
Les Coquillages de M. Chabre
Cette pochade exemplaire, toute de coquine fantaisie, étonnera tous ceux qui n’avaient vu en Zola que le chef sévère du naturalisme.
Roman / 64 p. / 130 x 200 mm / 10 €
Set. 2004
ISBN 2-84809-040-5